Les luttes politiques nationales comme frein à la fraternité

Ce dimanche promettait une belle fête d’Eglise : un baptême dans la communauté malgache grandissante. La célébration avait été préparée en amont comme d’habitude, les parents étaient engagés. J’avais proposé à la famille, connaissant leur goût pour le chant et l’attachement pour leurs racines, de choisir un chant malgache dont on donnerait la traduction. Cela permettait aussi à la communauté de découvrir d’autres expressions de la foi. Les paroles du chant m’avaient été envoyées et n’apportai...