Que faire de nos peurs ?

01 mai 2018

Éprouver de la peur n’est ni bien ni mal, c’est ce que nous faisons ensuite de cet « éprouvé » 
qui est de notre responsabilité.

  © Ian Allenden – 123RF   Classiquement, on oppose la peur à l’angoisse. La peur serait déclenchée par un danger réel, extérieur, et elle aurait valeur de signal nous permettant de déclencher nos processus de défense. L’angoisse, quant à elle, serait « sans objet », c’est-à-dire sans objet réel de danger, déclenchée par un conflit pulsionnel interne au sujet, danger imaginaire qui peut se projeter sur une situation extérieure banale et ainsi la rendre menaçante pour ce...
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Bruno Mounier, psychiatre et psychanalyste à Lyon

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