Nouvelles régionales

Synode régional

01 décembre 2018

Pourquoi réviser la Constitution de l’ÉPUdF ?

Un petit rappel, extrait de l'introduction au thème synodal, proposée dans le cahier de préparation de ce Synode, qui se tiendra du 16 au 18 novembre au temple de Grignan à Marseille.

 

[…]Il s’agit d’améliorer et d’adapter la gouvernance de notre Église à notre temps et à nos pratiques.
Ce temps de révision avait d’ailleurs été prévu lors du vote de la Constitution et des textes de référence en 2012, lors de la création de l’Église protestante unie de France.

C’est ainsi qu’il est demandé aux synodes régionaux :
. d’évaluer des dispositions qui avaient été retenues à titre expérimental dans la Constitution de 2012 pour une durée maximale de 8 ans (dispositions qui concernent les Ensembles particulièrement) ;
. d’apporter des modifications qui paraissent utiles pour trouver une solution aux situations et questions rencontrées depuis la mise en place de l’ÉPUdF ;
. de rectifier ou d’ajouter une précision dans une rédaction initiale d’un article ;
. d’examiner la possibilité d’intégrer de nouvelles dispositions qui concrétisent le travail de réflexion sur certains points comme le temps sabbatique des ministres, dont la réflexion avait été introduite au synode national d’Orléans en 2011 et avait fait l’objet d’un rapport de la Commission des ministères ;
. d’examiner, conformément à la décision 30 du synode national de Lille, les modalités d’insertion de la nouvelle Déclaration de foi adoptée lors de ce synode.

L’examen simultané de ces propositions de modifications et d’ajouts peut paraître lourd, étendu, mais il est une occasion à saisir.

La révision de la Constitution, résultat de la mise en commun des textes de référence de l’Église réformée de France et de l’Église évangélique luthérienne de France, nous permet d’avoir aujourd’hui, avec quelques années de recul, une réflexion générale sur les améliorations à apporter aux modalités de fonctionnement de notre Église, sur son cadre institutionnel, juridique et confessionnel, qui lui permet d’être une Église vivante au cœur du monde et de la société en mouvement.

[Il s'agit de] mieux servir la mission de l’Église de témoignage et d’annonce de l’Évangile.[…]

Dans le prochain numéro d’Échanges, retrouvez les échos du synode régional.

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