Billet d'humeur (le texte est publié sous la responsabilité de son auteur)

Vaccins, la piqûre de trop

01 mai 2018

La nouvelle loi de financement de la Sécurité sociale rend obligatoire, pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, dès la 6e semaine de vie et avant les 2 ans, huit vaccins supplémentaires jusqu’alors seulement recommandés pour la petite enfance.

Depuis l’annonce de ce projet de loi il y a plus d’un an, pétitions et appels à la raison ont fleuri sur les réseaux sociaux… en vain. Et non, ces personnes-là ne sont pas contre les vaccins mais contre l’ajout d’aluminium et l’inoculation trop massive de vaccins à des nourrissons. Elles sont également favorables à la vaccination contre la rougeole, face à l’épidémie qui sévit actuellement en Nouvelle-Aquitaine.

 
© Élisabeth Renaud

L’aluminium comme adjuvant

La première contestation vient de l’addition d’aluminium dans les vaccins pour stimuler, en les irritant, les défenses immunitaires du nourrisson qui ne sont pas matures avant 18 à 24 mois.
Le professeur Henri Joyeux, cancérologue, a été le premier à lancer l’alerte sur la dangerosité de l’aluminium dans les vaccins. Injecté sous la peau et dans le muscle, l’aluminium est biopersistant. Une partie reste sur place, l’autre diffuse vers les os en les fragilisant, vers les reins et le cerveau. Il est responsable d’Alzheimer précoce et de dégâts immunitaires à plus ou moins long terme. Cet adjuvant aluminique a été retiré des vaccins vétérinaires il y a trois ans pour cause de cancers très graves chez l’animal : sarcomes des os, des cartilages, des muscles, s’insurge-t-il. Il est désormais démontré que l’adjuvant aluminique n’a rien à faire dans notre corps quel que soit l’âge, d’autant plus qu’avec les onze vaccins obligatoires le nourrisson recevra au moins 3 mg de ce métal dangereux sous la peau et dans le muscle, dont environ la moitié seulement reste sur place, créant une forte irritation in situ.
Le premier vaccin à avoir subi cette modification est le DT-polio dont la fabrication sans aluminium a été arrêtée en 2008.

Les onze vaccins

L’appel à la raison lancé par le Pr Henri Joyeux a été signé par plus de 8 000 professionnels de santé, dont le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine. Pourquoi une telle mobilisation ?
Les défenses immunitaires d’un nourrisson sont en construction. Outre l’injection d’une quantité d’aluminium excessive, l’excès de vaccins peut être responsable de mort subite du nourrisson dans les jours ou les mois qui suivent la vaccination : 250 à 300 cas ont été répertoriés en France, dont 25 % des cas n’ont pas de cause précise. Selon une enquête scientifique menée pour un procès aux États-Unis, l’hyper-vaccination déclencherait la formation subite de cytokines, molécules inflammatoires toxiques pour un organisme fragile.
La vaccination contre l’hépatite B pour un nourrisson de 6 semaines n’a aucun intérêt de santé et peut être délétère dans l’avenir, en particulier responsable de phénomènes allergiques, de maladies auto-immunes dont les maladies neuro-dégénératives, sclérose en plaques en particulier, chez des enfants ou adolescents. 

Vaccins obligatoires depuis le 1er janvier 2018

La coqueluche, l’hépatite B, l’haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), les oreillons, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), le pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), la rougeole, et la rubéole. Ces huit nouveaux vaccins viennent en complément des trois vaccins déjà obligatoires, à savoir ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.

 

Élisabeth Renaud

Commentaires