« Tu peux, tu mets ; tu ne peux pas, tu prends. »
En jouant avec mon téléphone, je tombe sur ce message sur Facebook : « Tu peux, tu mets ; tu ne peux pas, tu prends. » C’est écrit sur une pancarte accrochée à la grille d’entrée d’un immeuble. Au pied de cet écriteau, un cageot avec des victuailles, des boîtes de conserve laissées à la générosité ou à la disposition du passant.